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samedi 24 décembre 2011
participer et gagner un cadeau pour noel 2012
dimanche 11 décembre 2011
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samedi 26 novembre 2011
elections marocaines
élections marocaines

Ce taux de participation montre la grande importance que tiennent ces élections pour les marocains, des élections qui arrivent quelques mois après les réformes constitutionnelles pour la promotion du processus démocratique au Maroc.
Une petite comparaison montre l'importance de ce taux par rapport au taux définitif des élections de 2007 qui n'a pas dépassé les 37%.
Ainsi, les marocains se sont engagés à faire réussir le processus démocratique du pays en participant massivement aux élections qui ouvrent la voie à une nouvelle ère démocratique.
Plusieurs pays ont, d'ailleurs, salué les conditions dans lesquelles se sont déroulées les élections, mais aussi le changement et les réformes que voit le pays.
Par ailleurs, l'optimisme qui tatoue ces élections se lit, entre autres, à travers les félicitations des comités d'observateurs des élections marocaines. Ces observateurs sont des membres du Sénat français et des députés du Parlement européen appartenant à des formations politiques de droite et de gauche, invités par le président du Conseil national pour les droits de l'homme, et dont la présence au Maroc vise également à «fournir un soutien pour la transition démocratique", selon un des députés européens présents au Maroc.
Le scrutin marocain tient une grande importance, actuellement, dans ce contexte géopolitique mouvementé depuis le début du Printemps Arabe. Il arrive après les élections tunisiennes et quelques jours avant les élections égyptiennes, lesquelles favorisant la montée en puissance des partis islamistes.
Ces données poussent certains à donner favori le parti islamiste marocain PJD qui pourrait pourrait supplanter l'Istiqlal (Indépendance), de l'actuel premier ministre Abbas El Fassi.
Le PJD devrait également, selon certains analystes, devancer un autre parti, membre de la coalition gouvernementale, le Rassemblement national des indépendants (RNI) dirigé par Salaheddine Mezouar, ministre de l'économie.
Cependant, si le PJD gagne ces élections, l'on ne pourrait s'attendre à une victoire écrasante comme ce fut le cas en Tunisie. Sa victoire ne pourrait également se faire aisément puisqu'il devrait affronter deux grands partis: l'un bien plus expérimenté et l'autre soutenu par un grand nombre de jeunes technocrates, avec à leur tête un ministre qui a choisi de mener une campagne électorale à l'américaine.
Ainsi, l'espace électoral marocain est bien plus vaste que ce qu'on pourrait penser, et le plus important parti politique ne pourrait espérer dépasser 16% à 18%, selon des analystes politiques.
jjjj
Ce taux de participation montre la grande importance que tiennent ces élections pour les marocains, des élections qui arrivent quelques mois après les réformes constitutionnelles pour la promotion du processus démocratique au Maroc.
Une petite comparaison montre l'importance de ce taux par rapport au taux définitif des élections de 2007 qui n'a pas dépassé les 37%.
Ainsi, les marocains se sont engagés à faire réussir le processus démocratique du pays en participant massivement aux élections qui ouvrent la voie à une nouvelle ère démocratique.
Plusieurs pays ont, d'ailleurs, salué les conditions dans lesquelles se sont déroulées les élections, mais aussi le changement et les réformes que voit le pays.
Par ailleurs, l'optimisme qui tatoue ces élections se lit, entre autres, à travers les félicitations des comités d'observateurs des élections marocaines. Ces observateurs sont des membres du Sénat français et des députés du Parlement européen appartenant à des formations politiques de droite et de gauche, invités par le président du Conseil national pour les droits de l'homme, et dont la présence au Maroc vise également à «fournir un soutien pour la transition démocratique", selon un des députés européens présents au Maroc.
Le scrutin marocain tient une grande importance, actuellement, dans ce contexte géopolitique mouvementé depuis le début du Printemps Arabe. Il arrive après les élections tunisiennes et quelques jours avant les élections égyptiennes, lesquelles favorisant la montée en puissance des partis islamistes.
Ces données poussent certains à donner favori le parti islamiste marocain PJD qui pourrait pourrait supplanter l'Istiqlal (Indépendance), de l'actuel premier ministre Abbas El Fassi.
Le PJD devrait également, selon certains analystes, devancer un autre parti, membre de la coalition gouvernementale, le Rassemblement national des indépendants (RNI) dirigé par Salaheddine Mezouar, ministre de l'économie.
Cependant, si le PJD gagne ces élections, l'on ne pourrait s'attendre à une victoire écrasante comme ce fut le cas en Tunisie. Sa victoire ne pourrait également se faire aisément puisqu'il devrait affronter deux grands partis: l'un bien plus expérimenté et l'autre soutenu par un grand nombre de jeunes technocrates, avec à leur tête un ministre qui a choisi de mener une campagne électorale à l'américaine.
Ainsi, l'espace électoral marocain est bien plus vaste que ce qu'on pourrait penser, et le plus important parti politique ne pourrait espérer dépasser 16% à 18%, selon des analystes politiques.
mercredi 23 novembre 2011
barca contre inter : mission accomplie avec succes
Football - Ligue des Champions
Barça, mission accomplie
Le FC Barcelone est assuré de terminer à la première place du groupe H après son succès à Milan (2-3) mercredi, lors de la 5e journée de la Ligue des Champions. Les Milanais qui, à l'instar des Barcelonais, étaient déjà qualifiés avant le coup d'envoi, devront se contenter de la deuxième place.
AC MILAN - FC BARCELONE : 2-3Buts : Ibrahimovic (20e), Boateng (54e) pour Milan - Van Bommel (14e c.s.c.), Messi (31e s.p.), Xavi (63e) pour Barcelone
Le FC Barcelone s'est comporté en patron à Milan. Le tenant du titre, qui tenait déjà son billet pour les huitièmes de finale, est désormais assuré de terminer en tête du groupe H après le succès acquis à San Siro (2-3). Au terme d'un match spectaculaire, les Catalans se sont imposés grâce à des buts de Van Bommel (14e c.s.c.), Messi (31e s.p.) et Xavi (63e) contre des buts d'Ibrahimovic (20e) et Boateng (54e) pour les Rossoneri. Avec 13 points, cinq d'avance sur Milan, le Barça ne peut plus être rejoint et Milan devra se contenter de la deuxième place. jjjj
dimanche 20 novembre 2011
Saif al-Islam Kadhafi : un procès en Libye ou devant la CPI ?
Saif al-Islam Kadhafi : un procès en Libye ou devant la CPI ?
Saif al-Islam Kadhafi assis dans un avion a Zintan en Libye, le 19 novembre 2011 alors qu'il vient d'être capturé. (Ismail Zetouni / Reuters)
Peu après l'annonce de sa capture, les appels à son jugement devant la CPI se sont multipliés sur le plan international, mais les autorités libyennes, tout en s'engageant à coopérer avec la Cour pénale internationale, ont laissé entendre que Seif al-Islam pourrait être jugé dans leur pays.
Longtemps présenté comme le successeur potentiel de son père, Seif al-Islam «a été arrêté dans le Sud libyen», a déclaré à l'AFP Mohammed al-Allagui, le ministre de la Justice, au sein du Conseil national de transition (CNT).
«Balle dans la tête»
«Seif al-Islam a été arrêté à 01H30 dans la nuit de vendredi à samedi»dans la région de Wadi al-Ajal (sud-ouest de la Libye), a précisé Al-Ajmi al-Atiri, le chef de la brigade de Zenten qui arrêté le fugitif dans une embuscade.
«Il nous a demandé de lui tirer une balle dans la tête et qu'on l'amène(mort) à Zenten», a-t-il raconté.
Le fils de Mouammar Kadhafi est arrivé vers 16H00 (14H00 GMT) dans le petit aéroport de Zenten, à 170 km au sud-ouest de Tripoli, selon des images filmées avec une caméra par un combattant ex-rebelle.
Il est descendu de l'avion dans une grande pagaille, une foule de combattants et de curieux se bousculant pour le voir, le filmer et même le frapper. Arborant une barbe poivre et sel, il portait un turban et un long manteau de couleur marron, une partie de ses doigts était bandée.
Aucune expression ne se lisait sur son visage, mais il semblait en bonne santé, malgré ses blessures aux doigts, toujours selon ces images.
D'après des chefs militaires pro-CNT, le fils de l'ancien «Guide» a été blessé dans le bombardement de son convoi alors qu'il quittait Bani Walid (170 au sud-est de Tripoli) lors de la chute de ce bastion pro-Kadhafi à la mi-octobre.
Agé de 39 ans, Seif al-Islam a longtemps semblé vouloir moderniser son pays et normaliser les relations avec l'Occident. Mais dès le déclenchement de l'insurrection à la mi-février, il n'a eu de cesse de tenir un langage guerrier, tentant de sauver à tout prix le régime de son père.
Depuis le 27 juin, il fait l'objet d'un mandat d'arrêt de la CPI pour des soupçons de crimes contre l'humanité. Il est accusé d'avoir joué un «rôle crucial dans la mise en oeuvre d'un plan» conçu par son père pour«réprimer par tous les moyens» le soulèvement populaire.
Le Premier ministre libyen par intérim Abdel Rahim al-Kib a promis qu'il serait jugé au cours d'«un procès équitable pendant lequel les droits et la loi internationale seront garantis».
«Le système judiciaire va communiquer avec la Cour pénale internationale pour examiner où Saif al-Islam doit être jugé», a-t-il souligné. «Toute coopération avec les organismes internationaux est la bienvenue», a-t-il poursuivi, suggérant que les autorités préféreraient qu'il soit jugé en Libye.
Les autorités libyennes ont l'obligation de remettre Saif al-Islam à la Cour, a déclaré de son côté à l'AFP un porte-parole de la CPI, sans exclure la possibilité que le procès ait lieu en Libye.
«Si les autorités libyennes estiment qu'un procès au niveau national est une meilleure solution, elles devront alors demander à la CPI que l'affaire ne soit pas recevable à La Haye, selon le principe de complémentarité», a-t-il déclaré.
Un autre porte-parole a précisé que le procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo, se rendrait en Libye la semaine prochaine.
«Justice sommaire»
Les Etats-Unis, l'Union européenne, la France, la Grande-Bretagne, et l'Italie notamment ont appelé samedi le nouveau pouvoir à coopérer avec la Cour pénale internationale et à assurer un procès équitable à Seif al-Islam.
Amnesty International et Human Rights Watch ont demandé également séparément au CNT de livrer Saif al-Islam à la CPI afin d'éviter «ce qui est arrivé à Mouammar et Mouatassim Kadhafi», tués tous deux après avoir été capturés vivants.
Le représentant spécial de la présidence russe pour l'Afrique, Mikhaïl Marguelov, a d'ailleurs souligné que la Russie était satisfaite que Saif al-Islam a échappé à une «justice sommaire».
L'Otan a déclaré de son côté faire «confiance» aux autorités libyennes pour que la justice suive son cours.
Tirs de joie à Tripoli et Benghazi
Le conflit en Libye s'est achevé le 23 octobre avec la proclamation par le CNT de la «libération totale» du pays, trois jours après la mort de Mouammar Kadhafi.
Un mandat d'arrêt de la CPI visait également l'ex-dirigeant et son beau-frère Abdallah Al-Senoussi, ancien chef des services de renseignements.
Des sources sécuritaires nigérienne et malienne ont affirmé que M. Senoussi s'était réfugié fin octobre au Mali. Mais le «Conseil des thowar» de Tripoli a indiqué en citant des témoins que M. Senoussi avait été vu dans le Sud libyen.
A Tripoli et Benghazi, l'ancienne «capitale» de la rébellion dans l'est du pays, des avertisseurs et des tirs de joie ont retenti pour célébrer l'annonce de l'arrestation.
Reddition
Seif al-Islam n'était plus apparu en public depuis la nuit du 22 au 23 août lorsque, donné pour capturé par la rébellion, il avait paradé devant les journalistes étrangers en assurant que tout allait «bien» à Tripoli, quelques heures avant la chute du QG de Kadhafi dans la capitale.
Le procureur de la CPI avait plusieurs fois déclaré au cours des dernières semaines avoir eu des «contacts» avec Saif al-Islam via des intermédiaires en vue d'une éventuelle reddition.
Il était le dernier des fils de Mouammar Kadhafi encore recherché. Trois de ses frères ont été tués pendant le conflit, tandis que les autres enfants de l'ex-dirigeant ont trouvé refuge en Algérie et au Niger.
(AFP)
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