Un ancien élève a ouvert le feu hier dans une école de Rio. Il a tué dix écoliers avant de retourner l'arme contre lui.
Dix enfants tués, principalement des filles : il s'agit d'une tragédie sans précédent au Brésil. La présidente du pays, Dilma Rousseff, n'a pu retenir ses larmes, hier, lors d'une brève allocution télévisée se déclarant «choquée et consternée» par cette fusillade dans une école publique.
Beaucoup de munitions
Les tirs réalisés par un ancien élève ont coûté la vie à dix écoliers. L'homme a également blessé 18autres enfants avant de se donner la mort. L'hôpital a lancé hier un appel pour que la population fasse des dons de sang. «Si les policiers n'étaient pas arrivés si vite, la tragédie aurait été encore plus grave, car l'homme avait beaucoup de munitions et portait deux armes», a déclaré un responsable des forces de l'ordre. L'alerte a été donnée par un élève, blessé au visage par le tueur, mais qui a réussi à prendre la fuite en profitant de la panique. «Des employés de l'école ont déclaré aux policiers que le jeune était arrivé bien habillé, avec un sac, et qu'il leur avait dit qu'il avait été appelé pour participer à une conférence avec les élèves. C'est ainsi qu'il a pu accéder au troisième étage de l'immeuble», où a eu lieu la fusillade, a raconté un policier. Le tireur, Wellington Menezes de Oliveira, 24 ans, n'avait pas d'antécédents criminels. Sa famille a déclaré à la télévision qu'il était leur fils adoptif et avait quitté la maison il y a huit mois. Il a laissé une lettre, avec des phrases incompréhensibles, dans laquelle il disait qu'il avait le sida et voulait se suicider, a fait savoir un responsable de la police.
Beaucoup de munitions
Les tirs réalisés par un ancien élève ont coûté la vie à dix écoliers. L'homme a également blessé 18autres enfants avant de se donner la mort. L'hôpital a lancé hier un appel pour que la population fasse des dons de sang. «Si les policiers n'étaient pas arrivés si vite, la tragédie aurait été encore plus grave, car l'homme avait beaucoup de munitions et portait deux armes», a déclaré un responsable des forces de l'ordre. L'alerte a été donnée par un élève, blessé au visage par le tueur, mais qui a réussi à prendre la fuite en profitant de la panique. «Des employés de l'école ont déclaré aux policiers que le jeune était arrivé bien habillé, avec un sac, et qu'il leur avait dit qu'il avait été appelé pour participer à une conférence avec les élèves. C'est ainsi qu'il a pu accéder au troisième étage de l'immeuble», où a eu lieu la fusillade, a raconté un policier. Le tireur, Wellington Menezes de Oliveira, 24 ans, n'avait pas d'antécédents criminels. Sa famille a déclaré à la télévision qu'il était leur fils adoptif et avait quitté la maison il y a huit mois. Il a laissé une lettre, avec des phrases incompréhensibles, dans laquelle il disait qu'il avait le sida et voulait se suicider, a fait savoir un responsable de la police.
